Contrôles des émissions sur le terrain : 25 % des voitures échouent

La mesure des émissions directement en exploitation a commencé. Des policiers équipés d'équipements spéciaux rapportent les premiers chiffres. Un quart des voitures échouent au test. Ces conducteurs risquent de voir leur voiture arrêtée et une lourde amende.

L'avantage de cet appareil est qu'il permettra de mesurer les émissions des véhicules directement sur le terrain. L'objectif est de détecter les propriétaires de voitures diesel dont le filtre à particules a été retiré. Dans le même temps, cependant, l'appareil aidera à détecter les pécheurs pour lesquels le filtre à particules ne remplit plus son objectif. La troisième catégorie est généralement celle des voitures à fortes émissions, ce qui peut indiquer un problème technique.

La sanction initiale est une amende et la suspension de la voiture

Si les policiers équipés d'équipements spéciaux mesurent plus que les valeurs autorisées, les conducteurs peuvent non seulement arrêter leur voiture, mais peuvent également leur infliger une lourde amende. La raison de ces inspections est principalement d'assurer une meilleure qualité de l'air dans les villes et d'éliminer deux autres maux. Le premier concerne les efforts visant à supprimer les filtres à particules des voitures diesel. Le deuxième mal est la fraude MOT. Ici, depuis longtemps, il y a une réglementation qui dit que seules les voitures qui ont réussi la mesure des émissions peuvent subir un contrôle technique. Sinon, ils ne peuvent pas obtenir de certificat de compétence technique.

Lors des contrôles, les policiers regardent également la date du dernier contrôle technique

Lors de leurs contrôles, les policiers se concentrent également sur le dernier contrôle technique de la voiture. Si leur équipement spécial détecte une augmentation des émissions et que le tampon MOT est dit "encore humide", ils transmettent cette information. Le superviseur régional ou les inspecteurs du ministère des transports mèneront une enquête à un tel poste de contrôle technique dans le but de découvrir diverses machinations.

Sur le plan technique avec les policiers

Si les policiers soupçonnent que la voiture ne répond pas à ses exigences et, du point de vue de l'état technique, n'est pas apte à participer à la circulation routière, les conducteurs peuvent ordonner une visite MOT extraordinaire. Là, le conducteur accompagne la police. Si la voiture ne passe pas, le conducteur paie les frais d'inspection. Si la station ne trouve aucun problème et qu'il s'agit d'une erreur des autorités, elle paie le prix de l'inspection policière.

Le plan est d'acheter du matériel supplémentaire

Jusqu'à présent, il n'existe qu'un seul appareil pour mesurer les émissions directement sur le terrain. La région de Bohême centrale et Prague sont des endroits où l'unité de police peut l'utiliser. À cet égard, le Centre de services pour les transports routiers ajoute qu'il prévoit d'en acheter davantage afin que les conducteurs puissent être contrôlés dans la plupart des endroits de la République tchèque.